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    La ruelle.

    La ruelle

     

    Au fin-fond de Marseille il est une ruelle

    Etrangement tranquille et qui semble assoupie.

    C’est plutôt le week-end que l’étroite venelle

    Dort tout benoîtement une heure après midi.

     

    Elle est tout engluée dans sa douce torpeur.

    Une fontaine y pleut une plainte mouillée,

    Mais nul n’en entend plus le glouglou chuchoteur

    Car on dort trop profond derrière les volets.

     

    Les murs sont écaillés et croulent sous les fleurs

    Débordant de gros pots au vernis fissuré.

    Un vélo oublié veut croire en un voleur,

    Mais nul ne le prendra, il est bien trop rouillé.

     

    Et bien que tout ici s’ébrèche de partout,

    Des pavés aux trottoirs, des gouttières aux pierres,

    On y a l’air heureux, l’on a même le goût

    D’y vivre pleinement sous l’intense lumière.

                 Poème de Vette de Fondacle.

    La ruelle.

    La ruelle.


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  • petit coin de Provence

     

    petit coin de Provence

     

    petit coin de Provence


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  • Ballade.

    Ballade.

    A vélo à travers les champs de lavande.

    Ballade.

    Reportage photos à travers la montagne.

    Ballade.


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  • Les iles.

    Les iles.

    Les iles.

    Les iles.

     


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  • Fleurs des champs

    Fleurs des champs

    Fleurs des champs


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