Bonne Crêpes.

  Les crêpes à toutes les sauce c'est la tradition de la chandeleur mais sans nul doute cette tradition
nous l'appliquons au gré de notre fantaisie tout au long de l'année   pour le plasir des petits et des grands .

Il pleure dans mon cœur
 Comme il pleut sur la ville ;
 Quelle est cette langueur
 Qui pénètre mon cœur ?

Ô bruit doux de la pluie
 Par terre et sur les toits !
 Pour un cœur qui s’ennuie,
 Ô le chant de la pluie !

Il pleure sans raison
 Dans ce cœur qui s’écœure.
 Quoi ! nulle trahison ?…
Ce deuil est sans raison.

C’est bien la pire peine
 De ne savoir pourquoi
 Sans amour et sans haine
 Mon cœur a tant de peine !

Paul Verlaine
Romances sans paroles (1874)

Une petite histoire rigolote.

 Chaque année, au printemps, «Mister P», un magnifique paon vivant dans
un jardin du sud-ouest de l'Angleterre, entre en période
d'accouplement. Depuis toujours, «Mister P» ne rêve que d'une seule
partenaire: une pompe à essence de la station-service située en face de
son jardin. Chaque matin, le paon traverse la route et se plante devant
la pompe. Là, il fait sa plus belle roue, parfois durant dix-huit
heures, afin de s'attirer les faveurs du distributeur d'essence. Des
ornithologues se sont penchés sur ce curieux phénomène et pensent avoir
trouvé la clef de l'énigme. Les cliquetis de cette pompe sont
similaires aux bruits qu'émet une paonne en rut! En d'autres termes,
dès que quelqu'un fait le plein, le paon entend la pompe lui dire: «Viens me voir,
 je suis prête.» Au bout de toutes ses années de drague infructueuse, «Mister P»
 doit se dire que cette pompe est une sacrée allumeuse...

!

Beau coucher de soleil de ma chambre sur l'Etang de Berre.

Le couchant s'illumine ainsi qu'une fournaise

Sous les derniers rayons d'un chaud soleil d'été ;

Les nuages, au ciel, ont des rougeurs de braise

Sur les bords arrondis de leur groupe ouaté.

Mon œil surpris contemple une immense cimaise

Faite d'un voile pourpre et d'un voile bleuté,

Un groupe fantastique est taillé dans la glaise

D'un lourd nuage sombre au front ensanglanté.

Tandis que dans le ciel de longs rayons flamboient

La nuit coule sans bruit et remplit le vallon...

Dans son ombre bientôt toutes choses se noient !

Texte pris sur le net.

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"Coucher de soleil"

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